Enquête / Un an après sa publication le 1er novembre, la loi Agriculture et Alimentation (ou Egalim) n’est qu’en partie appliquée et l’ensemble de ses effets tardent encore à se faire sentir. C’est le cas de la première partie du texte, consacrée à la réforme des relations commerciales, et notamment de l’objectif de « construction des prix en marche avant ». La plupart des filières (à l’exception du miel par exemple) sont désormais dotées d’indicateurs de coût de production, même si quelques interprofessions (lait, vin) tardent à les publier formellement, par souci notamment de sécurité juridique.

Retrouvez cet article dans son intégralité dans la Haute-Saône Agricole du 8 novembre 2019 (version papier).

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