paturage

Selon la nature des sols et l’importance des précipitations, les croissances mesurées présentent de gros écarts. Encore très faibles, voire inexistantes en plaine, elles s’affichent plus marquées en secteurs plateaux-montagne, ce qui peut permettre de limiter la complémentation en fourrages. Préserver dans la mesure du possible une rotation pour laisser les plantes redémarrer en évitant le surpâturage. La production laitière est maintenue mais le niveau de concentrés reste proche des régimes d’hiver (240- 250 g/l).

Retrouvez cet article dans son intégralité dans la Haute-Saône Agricole du 14 septembre 2018 (version papier).

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