Agroalimentaire / Le 15 juin dernier a eu lieu la première audience de Leclerc, suite à son assignation par le ministre de l’Économie au tribunal de commerce de Paris. Entre 2013 et 2015 le Galec, centrale d’achat de Leclerc, aurait exigé des ristournes additionnelles de 10 % à une vingtaine d’industriels qui commercialisaient leurs marques nationales chez Lidl, elles sont appelées les « taxes Lidl ».
Retrouvez cet article dans son intégralité dans la Haute-Saône Agricole du 13 juillet 2018 (version papier).