Relations commerciales / Au Sénat, Michel Raison, rapporteur du projet de loi issu des États généraux de l’alimentation (Egalim), est « persuadé que la loi n’aura pas la portée du discours de Rungis ». Pour autant, les sénateurs de la commission des affaires économiques ont conservé le fond de la partie I du texte dédiée au rééquilibrage des relations commerciale dans le secteur agricole et alimentaire telle qu’adoptée par les députés, en y faisant tout de même quelques retouches.
Retrouvez cet article dans son intégralité dans la Haute-Saône Agricole du 22 juin 2018 (version papier).