Le développement de population d’animaux classés ou non nuisibles occasionne de nombreux dégâts sur les prairies, les cultures, dans les élevages, qui restent trop souvent aux frais des agriculteurs et autres. Afin de prouver la nuisibilité de certaines espèces d’animaux sauvages et de les maintenir sur la liste des animaux classés nuisibles, la FDSEA et la Fredon de Haute-Saône ont besoin de l’appui et du concours de leur réseau pour apporter des justificatifs écrits quant aux préjudices subis.
Retrouvez cet article dans son intégralité dans la Haute-Saône Agricole du 8 janvier 2021 (version papier).